l’Astro Gazette de la FDAF

Bulletin mensuel de la FDAF (Fédération Des Astrologues Francophones)

n°202 - Août 2021

Billet d’Humeur

Jean-Philippe
COLLET

POINT ACTU ÉPIDÉMIE COVID

Devant l’afflux d’informations, souvent contradictoires, pour ne pas dire incohérentes (notamment sous la dernière rétrogradation de MERCURE du mois de juin) on finit par savoir si peu de choses.


L’astrologie peut-elle répondre à ce flou informationnel ?

Pour faire suite à la conférence de mars sur la dynamique épidémiologique, voici une petite mise à jour.


- LA DYNAMIQUE ÉPIDÉMIOLOGIQUE DU COVID

Au cours du colloque, nous avions pu mettre en évidence le rôle du cycle de MARS dans son aspect inflammatoire et non la propagation de l’épidémie. L’inflammation, rôle typiquement martien, se traduit par le nombre d’hospitalisés, de réanimations et de décès.

Le cycle de MARS de l’épidémie ayant pour point de départ son passage sur la triple conjonction JUPITER SATURNE PLUTON en CAPRICORNE, nous avions pu mettre en évidence que son passage en BÉLIER au 1er carré croissant de son cycle avait constitué un nouveau pic d’hospitalisations conduisant à un 2e confinement. Le sesqui-carré, sur-inflationniste émotionnellement par nature, a conduit à une sorte de 3e confinement hybride, qui eu surtout pour effet de chercher à rassurer nos gouvernements.

À l’apogée, au moment du passage de MARS fin CANCER à la mi juin, nous évoquions la possibilité d’une décrue ainsi que la possibilité de la découverte d’un traitement utilisant une ancienne molécule.


Le 13 juin L’institut Pasteur de LILLE reçoit une autorisation de test clinique sur 600 patients non vaccinés pour un suppositoire utilisant le clofoctol, un vieil antibiotique utilisé jusqu’en 2005 pour traiter des infections respiratoires bénignes. Les résultats sont attendus pour le 15 septembre au moment de l’entrée de MARS en BALANCE, (à l’approche du dernier carré du cycle épidémiologique donc). Ce traitement est donc à suivre avec intérêt parmi d’autres.


À peu près au même moment, le gouvernement lâche la bride et décrète la possibilité de retirer le masque en extérieur. De fait le nombre d’hospitalisations a tellement chuté qu’il n’y a pratiquement plus de cas covid dans les hôpitaux.


Qu’en est t’il alors de la situation actuelle du mois de juillet faisant état de nouvelles contaminations dues au variant Indien ?

Il ne reflète, de fait absolument pas le cycle inflammatoire de MARS. Et pour cause, si le gouvernement s’inquiète d’une nouvelle hausse des cas de contamination par ce variant, les hôpitaux restent globalement vides. En terme de mortalité on notera que 6 décès au cours de la dernière semaine alors que le gouvernement prend des mesures séparatistes jamais vues depuis la République de Vichy. La situation inflammatoire liée au cycle de MARS semble donc globalement bien respectée. La situation anxiogène entretenue par le gouvernement repose bien davantage sur un état émotionnel d’inquiétude (quand cela ne sert pas quelques intérêts politiques non avoués) qu’une réelle catastrophe sanitaire.


MARS est maintenant dans sa phase de cycle décroissant. Entre la mi octobre et la fin octobre, il sera en position de dernier carré de son cycle épidémiologique. Si l’on respecte sa logique, on pourrait avoir un dernier sursaut inflammatoire, mais encore une fois sans gravité particulière si ce n’est une nouvelle crise émotionnelle du gouvernement.

Mon avis est aussi que ce dernier carré de MARS pourrait ouvrir à un abandon partiel ou définitif de la vaccination comme remède au Covid.



- ASTROLOGIE ET RESSOURCES MÉDICALES


Nous pouvons nous aventurer sur un terrain peut-être un peu plus glissant mais qui mérite une réflexion.


Au cours de ma conférence, j’exprimais mon doute sur la réelle efficacité de vaccins d’un nouveau genre sous une dynamique cyclique de carré décroissant entre SATURNE et URANUS. SATURNE et URANUS sont aussi les astres traditionnellement attribués aux chercheurs. Sortir un nouveau procédé basé sur l’Arn messager sous carré décroissant me semble relever d’une illusion caractérisée pour ne pas dire d’un échec assuré.


À contrario, sous un carré décroissant la réutilisation d’anciennes molécules se montreraient beaucoup plus opérationnelles.


De fait le vaccin, d’un certain laboratoire contre le variant Indien, semble être d’une inefficacité somme toute relative puisque que selon une étude récente d’Israël, un des pays les plus vaccinés au monde par ce type de vaxin, l’efficacité contre ce variant serait de seulement 16%, sans compter les effets secondaires et indésirables d’une ampleur sans précédent pour une campagne de vaccination (1 cas grave tous les 2900 vaccinés en France selon les chiffres officiels de l’ANSM). Gilbratar, qui serait vacciné à 99%, voit les cas de contamination flamber.


CONCLUSION

Un cycle de MARS décroissant, un carré décroissant entre SATURNE et URANUS, un aspect séparant entre JUPITER et PLUTON, un sextil toujours actif depuis 1950 entre NEPTUNE et PLUTON, tous les éléments sont réunis pour faire désormais de cette épidémie au sens astrologique, une épidémie sans plus de gravités notables que l’État le sous entend.

Reste à voir la crise de l’autorité d’un gouvernement sorti exsangue des dernières élections régionales et départementales. En plein climat sec, lié au carré décroissant SATURNE URANUS, et alors que les principaux ténors du gouvernement français ont un transit d’URANUS sur des points vitaux de leur thème (notamment sur la LUNE du Président et du 1er ministre), c’est une véritable crise d’autoritarisme qu’il est plus à craindre que le virus lui-même qui perd de sa puissance.


Jean-Philippe COLLET


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